« Je ne connaissais pas Jonas Kaufmann avant de
l’avoir rencontré pour Suivez donc la mesure, je trouvais intéressant de
faire le portrait d’un des plus grands ténor du monde, sans le connaître.
C’est quand j’ai entendu sa voix que j’ai eu envie que le son soit le fil
narratif du film et que j’ai décidé de le monter d’abord et l’image ensuite.
Jonas Kaufmann est toujours en mouvement, alors je l’ai suivi. De là ce
portrait intime d’un homme, de ses trajets, de son travail hors du commun
qui fait jaillir la création de la technique ; du métro jusqu’à la scène. »
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