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La Libre, 18 septembre 2013
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Jongen François |
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Giuseppe Verdi, Requiem, Daniel Barenboim
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Année
Verdi, et encore un nouveau Requiem. L’affiche est des plus alléchantes :
pour le lieu (un live gravé à la Scala en août 2012, avec les chœurs et
l’orchestre de la célèbre maison milanaise dont Verdi fut un des piliers),
pour le chef (Daniel Barenboim, directeur musical de la Scala, mais qui
avait déjà enregistré l’œuvre avec son Orchestre de Chicago), et pour le
quatuor de solistes (Anja Harteros, Elina Garanca, Jonas Kaufmann et René
Pape, excusez du peu). Et on n’est pas déçu. Ce Requiem est traversé par un
souffle constant, la théâtralité est à son comble (parfois un peu trop,
pourront trouver certains), et les solistes ne déçoivent pas. Kaufmann,
notamment, toujours capable de nuances stupéfiantes (écoutez, par exemple,
l’attaque du "Hostias").
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